
Étrange passage du temps
Qui demeure éternel dans le mystère
Sans percer les questions, les tourments.
Passé qui à regarder m’obstine,
A me souvenir de vieux souvenirs
Et des épreuves qui mes rêves m’ont coûté.
Le jours vont et viennent, le murmure pleure,
Mes mots dans ma gorge se font un nœud,
Qui en restant, le souffle me volent.
C’est comme une bête qui en moi habite,
Comme l’amer de l’amertume,
Comme du soleil la mort quotidienne.
C’est la nostalgie fatal, c’est la distance,
C’est le silence, que empêchent de battre mon cœur,
Mais jamais la flamme de ton amour.

This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.