Absence,
Oiseau blessé qu’à mon corps arrive,
De l’infini ses yeux débordés,
Des espaces comblés de souvenirs,
De penses, des mots, de réflexions.
Distance,
Oiseau blessé qu’à mon corps arrive
Avec ses ailes fatiguées d’emprunter
Des champs de mers de montagnes,
Du temps impossible de rattraper.
Nostalgie,
Morsure que dans ma vie demeure
Laissant les chimères sans endroit,
Des mystères impossibles à percer,
Des doutes a ne jamais soulager.
Il n’y a pas d’explication
Ni des éventuelles réponses.
Véritable est la nostalgie,
La absence se vit,
La distance est la réalité.

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