Sans bouger, avec un souffle
Habillant mon tremblement,
Je n’ouvre pas les yeux
Quand je sens que la mort
Occupe la place de mes sanglots.
Une de tes nuits sans horizon
A réveille une illusoire ferveur,
Du rêve qui gagnait mon cœur.
J’entame alors le parcours de l’absence
Qui désormais emporte ma passion.
Je demande au monde la sentence :
Une ombre a pris l’errance du destin.
Un souffle, un sanglot m’appellent,
Sans bouger la vie s’endorme
Et se fait lourde à porter sur la main.

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Super
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Merci beaucoup.
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