Il ya un silence, un soupir
Qui timide se montre,
Et un froid
Qui lentement pénètre.
Il y a un silence, un vide
Qui sans pitié m’attire,
Et un tremblement
Qui enferme mon corps .
Il y a un silence, un désert
Qui mes larmes abritent
Et une peine
Qui atteint l’infini.
Il y a un silence, un désespoir
D’en vain chercher,
De marcher pour ne pas te trouver,
De la désolation
De ne plus entendre ta voix.