Il n’y aura pas de nuits pour contempler la lune
Ni ciel pour recueillir mes rêves
Ni mer qui pourrait mes larmes garder.
Il n’y aura pas des chemins qui ma fugue prenne,
Ni pénombre pour cacher mes yeux,
Ni brise qui pourrait mes soupirs percer.
Il n’y aura pas de minutes pour combler le temps
Ni raison qui défasse mon silence
Ni sagesse que m’encourage à exister.
Et j’ai eu besoin de tout donner
Pour un cœur toucher à nouveau,
Mais la joie s’est perdue entre mes mains
Mon affliction la chimère a dévasté.

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