(JOURNEE INTERNATIONALLE DE LA FEMME)
Petite fille sans rêves lumineux
Aux yeux perdus dans le brouillard,
Tu es née de la poussière du désert
Au cœur même du mythe et le devoir.
Marqué dans sa chair ton corps,
Marquée dans sa pureté ton âme,
A la poursuite des fleurs tu déambules
A la quête toujours des pétales perdus.
De tes ancêtres les peurs t’alourdissent
Les tiennes sont silencieuses et brutales,
Tu as perdu ton espace et tes rêves,
Jamais tu ne pourras compter les étoiles.
Presque sans vie est ton existence,
Et la lame des valeurs imposées
A mis en cause ton droit à la passion,
Devenir femme est devenu fatalité !
Inconcevable est le silence,
Le combat ne devra pas s’arrêter.
(Mai 2019)

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Un beau texte preuve qu’il ne faut pas baisser les bras mais les ouvrir en grand
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Merci Patrick pour ton commentaire. Avec les bras grands ouvertes plus beaucoup d’autres bras, peut être on arrivera à faire quelque chose
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