Bras d’acier, force de laboureur
Tu retiens mon corps
Et entre de secrets désirs, je m’envole.

Plaines tièdes, torse droit,
Mes mains cherchent accueil
Elles se perdent,
Elles caressent, touchent
Elles sourient malicieuses, mes mains.

Ventre arrondi, doux
Sentier qui me mène
A des collines fermes, douces.
Jambes tels des troncs, emmêlés à mon corps.

Papillon qui s’envole,
Comme le soleil pénétrant le jour.
Alors tu es à moi
Parce que je te sens en moi
Et je t’aime.
Tu sais que je t’aime.