Le temps est resté en silence
Il a étouffé mes rêves, troublé mon esprit,
Et imposé la peur à l’inconnu
Qui peu à peu est devenu mon ami.
Je voudrais m’enfuir de l’étrange
De l’équivoque, du délire
Du silence qui brise ma paix
De la mélancolie qui me donne asile.
Je donnerais ma confusion, ma passion,
La nudité de mon âme, de mon corps
Pour entendre encore le passage des jours,
Pour essayer de rallonger le temps

Ce(tte) création est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International.