Que pourrais-je dire
A la vie, maîtresse des blessures
A la solitude, compagne de l’infortune
A l’obscurité partenaire de la faim.
Que pourrais-je dire
A la mer gardianne des larmes
Aux mystères, guides de l’epoir
Aux destin, caprices des rêves.
Que pourrais-je dire8
De ma jeuneuse combative, fragile et crédule
De mes idéaux brulés sous le soleil
De mes années, épuisées en vain par le 0
Je pourrais te dire alors
Que le monde est resté dans les ténèbres.
Et maintenant que nous nous retrouvons
Déshabille-moi à nouveau, mais dans l’ombre
Ma nudité a fini par m’accabler.

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Les mots se balancent précieusement.
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Oui, je voulais passer d’ironie en ironie sans que ne doit très lourd, j’espère que doit v cmme ça. Merci de me lire et j’apprécie beaucoup le commentaire
Gloria
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