Oh, grand vent,
Tu m’effraies quand tu cries,
Quand tu sèches mes larmes
Et laisses dans mon cœur les traces
De cette douleur enragée.
Gouttes qui sans retenue
Parcourent ma peau avide de temps,
De mémoire, de tendresse et de paix.
Gouttes qui tissent des désirs de liberté
Dans chaque recoin de mon corps.
Terre, toi qui offres un parcours tortueux,
Un refuge aux peines de vie
Repos avisé dans tes enrailles
De la défaite de ceux, que dans leurs rêves,
Espèrent sauvegarder l’humanité.

Beau poème 🙂
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Merci Gyslaine 🌹
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