Le jour m’observe, me dévisage.
Loin de mon corps j’ai scruté
Tel que fantôme vagabond
Des rues étranges, vides de toi.
Le jour m’observe, me dévisage.
Loin de mon amour je t’ai cherché
Tel que regrets voyageurs
Par les désirs, les caresses, les baisers.
J’observe le jour je le dévisage.
J’aurais voulu avoir un éclat
Tel que soleil de printemps
Sur des moments froids, douloureux.
J’observe mon chagrin, je le dévisage.
J’aurais voulu avoir une flamme
Tel qu’un ardant désir
Qui déverse ses envies sur moi.
J’observe ma solitude, je la dévisage
J’aurais voulu trouver un chemin
Tel qu’interminable trace
Jusqu’à ta demeure, jusqu’à toi
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Gloriaecrit 
Le regard du chagrin ?
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Oui, du chagrin et de la solitud.
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Chagrin et solitude, un sentiment et une réalité qu’il nous faut affronter et arriver à transformer en quelque chose de plus positif. L’écriture est une bonne chose qui peut permettre cela.
Au plaisir de lire vos textes. Je ne sais plus qui a dit : « L’espoir et la confiance, le même bien la même force. »
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Merci pour la réflexion, des fois nous restons accrochés à ces sentiments quan la vie nous ofre tan de jolies choses, mais ce qui il y a dans le coeur reste comme une tâche que devons laver avec des belles matins. Merci du commentaire, je le prends amicalement
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Très belle journée.
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Pareillement
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