Timidement à la fin d’un parcours tu arrives
L’endroit qu’avec des larmes tu cherchais,
Les rides de ton âme tu ramènes sur ta main
Et dans ton cœur, de souvenirs un avers.
Un chemin devant toi est apparu,
Ample comme l’espoir,
Large comme une vie…
Timidement tu empruntes cette route
Sans savoir qu’en arrière, un furtif regard
Te rappelle que la mémoire sait garder
L’espace suspendu d’un départ.
Un chemin devant toi est apparu,
Ample comme l’espoir,
Large comme une vie…
Timidement chaque jour les yeux tu ouvres
En sachant que tu es de la terra et du vent,
Des rochers, de l’eau, de l’air, du temps,
D’un autre monde que avec peine tu as laissé.
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J’aime beaucoup ce passage « En sachant que tu es de la terra et du vent,
Des rochers, de l’eau, de l’air, du temps ». Tout est dit.
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