Au refuge de mes rêves vaincus
De mes doutes au-dessus de mes forces
De mes jours au-delà des distances,
Sans te voir la peine m’accable
Et l’illusion faiblit dans l’attente.
Mais tu es revenu mon amour, mon ami Dans la nuit où les sanglots se cachent
Avec la pluie qui lave le chagrin
Et le vent qui la douleur effraie
Une tempête se déchaîne à l’improviste.
Je t’embrasse avec ce désir qui éclate,
Je t’aime avec ma passion presque démente
Jusqu’à être à toi, à toi, fiévreuse, hallucinée.
Je t’ai donné le feu pour brûler ton corps,
Mais ne tarde pas à revenir,
Mon être agonise dans le vide de ton passage
Et ton absence vaincra de nouveau mes rêves
GT